IJAM Volume 13 Number 2 (PAPIER)

MOT DE LA RÉDACTRICE EN CHEF  

Chers lecteurs,

Je suis très enthousiaste de vous retrouver pour cette première parution de 2011. Nous sommes fiers du chemin parcouru par l’IJAM au cours des dernières années. En effet, cette revue arbitrée a démontré, à l’échelle internationale, qu’il est possible de produire une recherche de qualité dans le domaine de la gestion des arts. Avec IJAM, nous avons été avant-gardistes dans le domaine de la recherche pluridisciplinaire et avons fait avancer la connaissance dans différentes sphères de la gestion propres au milieu des arts, de la culture et des industries culturelles. De ce fait, IJAM jouit d’une excellente réputation auprès de ses pairs.

Au 1er octobre 2010, l’IJAM comptait des abonnés provenant de 49 pays. Pour être encore plus visibles auprès d’un lectorat international, nous avons récemment signé une entente avec JSTOR, de sorte que l’IJAM sera dorénavant répertorié dans cette base de données qui compte plus de 1 200 revues. JSTOR ajoutera à son répertoire tous les articles de l’IJAM publiés depuis les débuts, en 1998, jusqu’à trois années précédant le numéro actuel. Tous les articles de la revue sont aussi répertoriés dans la base de données ProQuest ABI/INFORM.

Dans les prochains mois, nous entamerons une réflexion afin d’accroître notre rayonnement auprès des milieux universitaires. Nous souhaitons que l’IJAM se classe parmi les meilleures revues pluridisciplinaires, afin d’aider nos collègues universitaires à faire progresser leur carrière. Je suis convaincue que l’IJAM a atteint le niveau de maturité nécessaire pour devenir une des revues les plus citées dans le milieu de la recherche universitaire en gestion des arts.

En terminant, j’ai le plaisir de vous annoncer l’arrivée d’un nouvel éditeur associé, M. Ian Gilhespy, de l’University College Plymouth St Mark & St John, Plymouth, en Angleterre. Il sera responsable de la section « Performance stratégique et financière ». Nous sommes ravis de l’accueillir dans notre équipe.

Bonne lecture !

Johanne Turbide
Rédactrice en chef